Invité à Vence pour parrainer le Printemps des Poètes en 2023, inspiré par ses visites et ses rencontres fructueuses, Robin Bell, poète et historien écossais, en a tiré ce recueil. Un jaillissement spontané de mots et d’images, de rimes et de rythmes, un hymne poétique traduit de l’anglais par Maria Blazquez et illustré par Joyard.
En exclusivité « web » les éditions Ichnos vous proposent le livre de Delbourg et Joyard avec hors texte : une linogravure originale numérotée et signée par Joyard. La linogravure est reproduite sur la couverture. Disponible sur la boutique en ligne.
vient de paraître ! Disponible sur la boutique en ligne !
Deux babyboomers, fidèles au souvenir de la présence tutélaire du poste d’acajou au milieu de la vie familiale, échangent leur mémoire sonore. La TSF des Trente Glorieuses. La radio de naguère, entre la famille Duraton et le Quitte ou Double animé par Zappy Max, entre les réclames pour la Boldoflorine, la bonne tisane pour le foie et la chronique politique de Geneviève Tabouis.
Patrice Delbourg et Michel Joyard, chers zauditeurs devant l’éternel, conjuguent les évocations nées de leurs oreilles fertiles dans un ping-pong poétique et graphique.
vient de paraître – 16 x 16 cm- 12 euros sur la boutique en ligne !
L’obstacle majeur à une intégration harmonieuse de l’homme dans l’univers dit féminin de la maison ne tiendrait pas tant au manque de savoir-faire de ce dernier, qu’à l’inadéquation entre valeurs masculines d’une part et symbolique du domaine ménager d’autre part. Une simple glorification des tâches domestiques dissipera donc le malaise qui tient encore beaucoup d’hommes loin des fourneaux.
Pour illustrer ce thème Véronique Champollion détourne avec humour des œuvres célèbres.
La présente édition a été tiré a 30 exemplaires sur papier munken, numérotés de I à XXX . Elle comporte 51 reproductions des monotypes originaux de Michel Joyard. Tous les exemplaires sont accompagnés d’une gravure originale et ont été signé par l’artiste après tirage. PRIX 60 €
Le voyage imaginaire, sous forme de bande dessinée, de Sainte Réparate de Césarée à Nice tel est le thème du nouveau livre en niçois de l’artiste Véronique Champollion.
Inspiré d’un Bréa, le doux visage de la sainte ne laisse rien présager des péripéties qu’elle rencontrera lors de son épopée marine de Césarée à Nice. Rencontres avec la mythologie, telle celle de Thésée lors de son retour triomphal avec la dépouille du Minotaure. Celle d’Ulysse sur un radeau de fortune, furieux qu’on ne le laisse pas monter à bord. Rencontres redoutables aussi avec les pirates qui, armés jusqu’aux dents, sont repoussés par l’escadrille des goélands. Des hôtes plus paisibles sont accueillis à bord comme le perroquet ou l’évocation de Flamenca, issus de la littérature occitane. Nice arrive enfin en vue, avec son château et sa vieille ville. Complexité du scénario accentuée par un quasi Babel de langues où se côtoient : nissart, latin, grec, provençal, anglais. Les allusions ou citations, littéraires et visuelles, sont foison. Est-ce à dire que l’œuvre est réservée aux seuls initiés ? Non. Une lecture moins érudite s’offre à nous par le biais du dessin et de l’imagination de l’auteure, qui a su rendre vivante et pittoresque la légende de la Sainte Patronne de Nice. Frédéric Voilley 2022
La présente édition qui a été tirée a 100 exemplaires sur papier munken dont : 20 exemplaires de tête numérotés de I à XX, 80 exemplaires dont 77 numérotés de 1 à 77 et 3 exemplaires hors commerce a, b et c, comporte 78 reproductions des illustrations réalisées par Véronique Champollion. Tous les exemplaires ont été signés par l’artiste après tirage. Le livre sera bientôt en vente dans la boutique en ligne. 22 € l’exemplaire courant et 40 € l’exemplaire de tête avec gravure. NOTE / Edition épuisée
NOUVELLE EDITION :
Cette deuxième édition, qui a été tirée a 100 exemplaires sur papier munken, numérotés de 1 à 100, comporte 78 reproductions des illustrations réalisées par Véronique Champollion. Tous les exemplaires ont été signés par l’artiste après tirage. PRIX : 22 €
Entrer dans le souffle d’une création. Feuilleter, arrêter, se laisser éblouir, se perdre dans l’ombre d’un regard, dans l’ombre de la faille d’une roche. Toucher un rose tendre ou le noir d’un sillon, c’est le voyage que nous propose « de regard à regard ». Geneviève Roy a, dans cet ouvrage, fait le choix de nous affranchir du temps et de l’espace, il y a un ordre mais cet ordre n’est pas l’ordre. Avancer ou rebrousser chemin, refermer le livre, l’oublier, le retrouver… Regarder. Sergiane Cauwel
Geneviève Roy vit à Vence dans les Alpes-Maritimes. Après des études de Géographie à La Sorbonne elle est admise à l’École des Beaux-Arts de Paris. Sa passion pour la photographie et celle du voyage vont finalement se rejoindre en révélant sa vision du portrait.
A paraître fin mars : Jacques Lavigne ou l’ivresse de l’unité, ouvrage collectif sur l’œuvre du peintre suivi des écrits inédits de Jacques Lavigne. La parution du livre donnera lieu a une exposition des œuvres du peintre à la galerie d’art Transartcafé à Antibes à partir du 16 avril 2021
Le parcours de Jacques Lavigne peut nous paraître quelque peu hermétique, énigmatique, ou même parfois paradoxal ; parcours de l’esprit, parcours de peintre, recherche cathartique d’une ascèse.
Mais ces semblants sont trompeurs : ce n’est ni d’hermétisme, ni d’ascétisme qu’il s’agit, mais d’une exigence de simplicité et d’unité. C’est aussi, un mouvement vers l’affranchissement par l’esprit, qui est délivrance de l’être superflu et de la contingence.
Jacques ne se prétend pas visionnaire ou gourou. Son rayonnement, c’est celui, immanent, de la pensée; qui est aussi, le rayonnement de son œuvre peinte. C’est le miracle de la peinture, que de réunir et de résoudre sur une seule page, toutes les strates, toutes les impulsions de l’être.
Cependant la peinture de Jacques n’est pas, n’est plus, à proprement parler, peinture. On pourrait presque dire, qu’elle n’a que faire de la forme, de la couleur, de l’esthétique. Tout cela, les apparences, n’arrivent qu’après, et ne sont plus qu’un résultat, qu’un leurre pour nos yeux. Un leurre, si nous n’avons pas rompu avec notre façon habituelle de regarder, avec notre œil quotidien.
Mais ce n’est pas l’intention du peintre que de nous pousser vers une hypothétique catharsis ou conversion. L’artiste s’en tient à son propos qui est, par son tableau, de libérer notre vision intérieure, que nous puissions nous détourner de la tragique disparité du monde, et appréhender la véritable beauté, celle de lumière primordiale.